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Utilisateurs Mis à jour le 28 juin 2022 Qu’est-ce qu’un écrasement à tort ? Comment savoir si l’on est victime d’un écrasement à tort ? Pourquoi peut-on être victime d’un écrasement à tort ? Que faire en cas d’écrasement à tort ? Comment se faire indemniser ? En savoir plus Qu’est-ce qu’un écrasement à tort ?Lorsqu’un abonné à un ou plusieurs services fixes téléphone, internet, etc. souscrit un abonnement auprès d’un nouvel opérateur, on dit que le raccordement de la ligne de l’abonné au réseau du nouvel opérateur vient écraser » la ligne parle d’écrasement à tort », lorsque cet écrasement a lieu sans que le client n’y ait consenti. Comment savoir si l’on est victime d’un écrasement à tort ?Un écrasement à tort peut entraîner pour le consommateur la perte de l’un ou de la totalité des services fixes téléphone, accès DSL Internet, etc.. En revanche, l’interruption d’un service n’implique pas nécessairement que l’utilisateur a été victime d’un écrasement à tort. Seul son opérateur est en mesure de le renseigner sur la cause de l’interruption d’un que l’utilisateur constate que l’un de ses services fixes ne fonctionne plus, il doit s’adresser directement à l’assistance technique de son opérateur. S’il s’avère que la perte du service est due à un écrasement par un nouveau service, l’opérateur sera en mesure d’informer immédiatement l’utilisateur ; et s’il n’y a pas eu de souscription à ce nouveau service, l’abonné est victime d’un écrasement à tort. Pourquoi peut-on être victime d’un écrasement à tort ?Les causes d’écrasement à tort sont multiples et résultent généralement d’une erreur de saisie de la part de l’opérateur. L’Autorité travaille activement avec l’ensemble des opérateurs pour améliorer les processus opérationnels de commande afin de limiter ces cas. Que faire en cas d’écrasement à tort ?L’Arcep a demandé, dès 2007, à l’ensemble des opérateurs de tout mettre en œuvre pour minimiser les désagréments subis par les clients victimes d’un écrasement à tort. L’Autorité considère que ces cas doivent être réparés dans les meilleurs délais et sans frais pour les clients qui en sont Fédération Française des Télécoms FFT, qui rassemble les principaux fournisseurs d’accès à internet et opérateurs français, a pris 4 engagements, applicables depuis le 1er janvier 2009, pour prendre en charge les consommateurs victimes d’écrasement à tort pour rétablir sa ligne, le client victime d’écrasement à tort dispose d’un interlocuteur unique, qui est son opérateur habituel ; la coordination inter-opérateurs est assurée par la mise en place de cellules dédiées chez tous les opérateurs ;le client retrouve sa connexion sous 7 jours ouvrés maximum à partir du constat de la perte de ligne ;le rétablissement de l’accès est gratuit en cas d’écrasement à tort avéré ;le client victime d’écrasement à tort est indemnisé par son opérateur pratique, si un consommateur estime qu’il est victime d’un écrasement à tort, il doit s’adresser directement à l’assistance technique de son opérateur afin de demander le rétablissement gratuit de son service dans les meilleurs délais. Mais s’il est établi que l’écrasement provient d’un nouvel abonnement auquel le consommateur a effectivement souscrit, l’opérateur pourra lui facturer les frais de rétablissement de son un abonné en dégroupage partiel est victime d’un écrasement à tort, il perd à la fois l’abonnement téléphonique RTC classique fourni par France Télécom ou un autre opérateur de téléphonie RTC et le haut débit fourni par l’opérateur alternatif. Pour tout rétablir, il faut donc contacter les deux opérateurs d’abord son opérateur de téléphonie RTC généralement France Télécom pour rétablir la ligne abonnement téléphonique, puis l’opérateur alternatif pour rétablir la connexion internet abonnement internet. Comment se faire indemniser ?En cas d’écrasement à tort, votre FAI est votre interlocuteur unique et est chargé, à ce titre, de vous verser une indemnité forfaitaire pour le compte de l’opérateur écraseur ».Les opérateurs membres de la FFT ont convenu d’un barème d’indemnisation pour les consommateurs victimes de changement de ligne non sollicité l’utilisateur peut ainsi demander 30 euros par semaine sans accès au service, plafonné à un total de 120 outre, si le consommateur estime que l’indemnisation de base n’est pas satisfaisante au regard du préjudice subi, il peut faire une réclamation directement auprès de l’opérateur écraseur » ; dans ce dernier cas, l’opérateur écrasé » lui fournit l’adresse de contact communiquée par l’opérateur écraseur ». J’alerte l’Arcep Logiquementil ne devrait pas y avoir de soucis t’empechant d’y mettre une autre antenne à moins que le connecteur de la caméra soit placé dans un logement qui empèche physiquement (mécaniquement) d’y monter une antenne autre que celle d’origine. mendes93 Juin 14, 2013, 6:39 #17.COVID-19 UN TOURNANT DU DROIT DU TRAVAIL ?___________Pascal LOKIEC______Professeur à l'Ecole de Droit de la SorbonneQu’un texte prévoie une dérogation en cas de circonstances exceptionnelles n’est pas rare. Les dispositifs les plus mobilisés aujourd’hui accueillaient tous ou presque une telle possibilité, que ce soit le temps de travail art. 1er de la directive de 2003/88/CE, le télétravail art. L. 1222-11 C. trav. ou l’activité partielle art. R 5122-1 C. trav.. Mais le besoin de répondre à la crise causée par le Covid 19 est tel, en France et ailleurs, que c’est un corpus tout entier qui a émergé des différents Parlements nationaux. Quelque chose qui ressemble à un droit du travail de l’urgence, et qui perturbe fortement les équilibres habituels les métiers les plus essentiels sont aussi les plus mal payés, le domicile devient le lieu de travail normal, l’information-consultation peut se faire a posteriori, des pays qui avaient libéralisé le licenciement il y a peu l’interdisent aujourd’hui, le fait qu’un employeur exige la prise de température de ses salariés devient presque acceptable… Phénomène éphémère ou préambule à un nouveau droit du travail, la crise du Covid 19 oblige à réinterroger un certain nombre de certitudes, accumulées au fil des dernières décennies. Le besoin d’Etat Même s’il n’a jamais cessé d’être omniprésent, l’Etat s’est fait de plus en plus procédural au cours des années, préférant à la définition du contenu de la norme une simple délégation aux acteurs privés de la façon de l’élaborer la négociation d’accords collectifs de travail, l’élaboration de chartes, le recours au référendum, etc. La crise du coronavirus réhabilite un Etat interventionniste, qui impose le recours au télétravail lorsque cela est possible, interdit dans certains pays, pourtant peu coutumiers d’une telle logique, les licenciements, demande aux entreprises bénéficiaires de l’activité partielle de ne pas distribuer de dividendes ou, comme en Espagne, subordonnent le droit au chômage partiel au maintien de l'emploi pendant une durée déterminée après la reprise d’activité, 6 mois en l’occurrence. C’est le retour d’un ordre public fort, d’un ordre public qui devrait empêcher employeurs et syndicats d’opposer un accord collectif en cours d’application aux mesures nouvelles décrétées pour l’état d’urgence sanitaire un accord de RTT, des jours de repos conventionnels attribués dans le cadre d’un dispositif d’aménagement du temps de travail au-delà de la semaine , un accord aménageant le nombre de réunions en visioconférences, un accord de méthode sur l’information-consultation ... Résorber la fracture numérique En même temps qu’elle illustre, s’il était encore utile de s’en convaincre, les potentialités offertes par les nouvelles technologies, la crise montre aussi l’urgence à résorber la fracture numérique. La France n’est pas à l’abri de l’illectronisme, néologisme chargé de désigner la non-maîtrise des outils numériques, qui touche 11 millions de Français, soit 23 % de la population selon un livre blanc du Syndicat de la presse sociale SPS publié en juin dernier, sachant qu’en outre les communes les plus rurales subissent en moyenne des débits 43 % plus faibles que les villes de plus de 30 000 habitants, suivant une enquête de UFC Que choisir publiée en mars 2019. Suivre une formation, télétravailler ou participer à une réunion de CSE à distance n’est pas possible pour tout le monde. Il est d’autant plus urgent de réduire la fracture que certaines pratiques d’aujourd’hui pourraient se développer demain recours au télétravail, un ou deux jours par semaine, utilisation du numérique pour des RDV clients voire pour des réunions de CSE central. Avec de sérieux doutes sur le fait que la négociation collective ou la consultation d’un CSE à distance soient aptes à produire un dialogue social digne de ce nom !Au-delà des frontières de la vie personnelle Nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir ni proportionnées au but recherché », dispose l’emblématique article L 1121-1 du code du travail ! Le principe de proportionnalité, auquel le droit du travail s’est de plus en plus accoutumé au fil des années, prend tout son sens en contexte de crise sanitaire. Des restrictions qui seraient inacceptables en temps normal le deviennent lorsque la santé et la sécurité sont gravement menacées. La pandémie a mis au jour des pratiques nouvelles dans les entreprises, qui interpellent prise de températures corporelles des salariés et visiteurs, questionnaires médicaux, voire le cas de cet entrepreneur qui avait organisé dans son entreprise la prescription de chloroquine à ses salariés ! Les certitudes sur les impossibilités de poser des questions liées à la vie privée sont aujourd’hui questionnées, tout comme les règles de traitement automatique des données personnelles, quasiment incompressibles lorsqu’elles concernent la santé. Les principes de transparence et de proportionnalité qui régissent, en France comme dans beaucoup de pays, ce type de pratiques, devraient servir de garde-fou et faire comprendre que ce qui se justifie dans des circonstances exceptionnelles ne se justifiera plus demain. L’adaptation du travail à l’hommeCe n'est pas à l'homme de s'adapter au travail, mais au travail de s'adapter à l'homme. Le principe d’adaptation du travail à l’homme, reconnu tant par le droit français que par le droit européen, va mériter davantage d’attention qu’il en a reçu jusqu’à présent. A une époque où les évolutions technologiques et managériales robotique, intelligence artificielle, big data, etc, ou encore la toute puissance du marché, ont tendance à être accueillies aveuglément, comme des données qui s’imposeraient à nous comme s’il s’agissait de faits accomplis, un tel principe permet de réaffirmer la nécessité absolue de bannir tout déterminisme. Il faut réfléchir, discuter, prévoir, anticiper …. Ce que le droit du travail sait si bien faire, lui qui a su institutionnaliser des lieux de discussion dans l’entreprise négociation obligatoire, consultations … D’autres encore pourraient être institués par le droit, comme des espaces de discussion physiques ou numériques au sein d’un service, d’une unité de l’entreprise, pour parler du travail lui-même. Les sujets de discussion portant sur le travail lui-même seront nombreux après la crise. Quel avenir pour les open-spaces, peu compatibles avec la distanciation sociale ? Comment mieux rattacher les télétravailleurs à la collectivité de travail, autrement dit non seulement leur assurer un droit à la déconnection de leurs outils de travail mais aussi leur ouvrir un droit à la connexion à la collectivité de travail ? S’agissant de la santé et de la sécurité, on est aujourd’hui au temps des mesures ponctuelles respecter et faire respecter les gestes barrières, actualiser le document unique d’évaluation des risques, etc. Mais viendra, avec le temps des indemnisations et, une fois les tribunaux réouverts, de probables contentieux sur la reconnaissance du Covid 19 comme maladie professionnelle pour le personnel non soignant, celui des enquêtes, des bilans en termes de santé physique mais aussi de charge mentale isolement, anxiété, étanchéité de la frontière vie personnelle/vie professionnelle, etc, de la définition de la stratégie sanitaire, de la mise en place d’expertises ... Et pour ce faire, le constat, douloureux, pourrait être fait que l’on ne dispose plus d’institutions chargées spécifiquement des questions de santé et sécurité. Faire revenir le CHSCT ou tout au moins laisser aux partenaires sociaux la liberté de conférer à la commission santé et conditions de travail CSSCT, qu’elle soit légale ou conventionnelle, des pouvoirs équivalents à l’ancien CHSCT mérite débat.
Unbot Twitch en BASH. tixlegeek 20/12/2020 11/01/2021. Salutations! Hier, j'ai codé un Bot Twitch en Bash, en live sur twitch! Je fais ça souvent en ce moment, streamer sur twitch. Un peu plus tôt, j'ai entamé le développement d'un tamagotchi en C, un fil rouge que j'essaye de tenir en fin de soirée. Un ingénieur de France Télécom de 48 ans, en arrêt-maladie depuis un mois sur les conseil de son médecin du travail, s'est pendu jeudi à son domicile à Lannion Côtes-d'Armor, selon la direction, portant à 25 le nombre de suicides dans l'entreprise en près de deux ans. Cet ingénieur du centre R et D de Lannion, marié et père de famille, "s'est pendu à son domicile ce matin", a expliqué à l'AFP un porte-parole de la direction. "Il était en arrêt-maladie depuis un mois sur les conseils du médecin du travail", a-t-il ajouté, en soulignant que Didier Lombard, le PDG de France Télécom, était "profondément affecté" par ce geste et se rendait "immédiatement" sur place. Il s'agit du vingt-cinquième suicide dans le groupe depuis février 2008 et du deuxième sur le site de Lannion. Un autre salarié, technicien au centre de recherche, s'était donné la mort dans la nuit du 29 au 30 août dernier, sans laisser de message expliquant son geste. Il s'agissait alors du vingt-deuxième suicide. Les syndicats de France Télécom CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC/Unsa, Sud ont appelé jeudi le personnel à "agir sous toutes les formes, et notamment des assemblées générales" le 20 octobre, jour de la prochaine séance de négociation sur le stress au travail, estimant notamment que les personnels étaient "toujours en danger". Pour les syndicats, "c'est intolérable et inacceptable".