Le04/07/2022. CommuniquĂ© de presse du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne" dont la FSU Territoriale est membre. AprĂšs le drame survenu la semaine derniĂšre dans une microâcrĂšche de la ville de Lyon, nous nous associons trĂšs sincĂšrement Ă la douleur de la famille, et nous rappelons que seuls les services de police et de justice
Mars et mai 2019, janvier 2020, fĂ©vrier 2021 par milliers, les de la petite enfance sont dans la rue pour sâopposer Ă la rĂ©forme des modes dâaccueil. Mais le gouvernement nâa pas encore bien entendu notre protestation ! Nous refusons le calcul du taux dâencadrement qui conduirait aÌ six beÌbeÌs par professionnel, la prise en compte des apprentis dans ce taux, le ratio de 40/60 calculeÌ en moyenne annuelle ». Nous refusons lâaccueil en surnombre aÌ 115 % tous les jours, huit heures par jour. Nous refusons 5,5 mĂštre carrĂ© seulement par enfant en zone dense. Nous refusons des directions sans expeÌrience professionnelle pour jusquâaÌ quarante places en creÌche. Nous refusons une demie heure seulement par mois dâanalyse de pratique en creÌche et rien de garanti pour les assistants maternels. Nous exigeons un taux dâencadrement dâun professionnel pour cinq enfants quel que soit lâaÌge et au moins 50% de professionnels les plus qualifieÌs en creÌche. Nous exigeons une limite aÌ 110 % avec une moyenne hebdomadaire de 100% des inscrits. Nous exigeons 7 mĂštres carrĂ© minimum par enfant garantis sur tout le territoire. Nous exigeons une expeÌrience professionnelle pour diriger toute creÌche. Nous exigeons de veÌritables temps utiles dâanalyse de pratiques pour tous les professionnels des modes dâaccueil. Nous exigeons aussi le maintien des microâcreÌches aÌ dix enfants, lâeÌleÌvation globale des niveaux de qualification des professionnels de lâaccueil individuel et collectif par la formation initiale et la formation continue diploÌmante, lâalignement du couÌt restant aux familles sur la base du quotient familial quel que soit le mode dâaccueil. Pour ne pas grever lâavenir des beÌbeÌs, nous appelons aÌ la grĂšve le 30 mars 2021 dans tous les modes dâaccueil. » â DĂ©couvrez sur la carte ci-dessous lâensemble des manifestations prĂ©vues partout en France. Ă Paris, le dĂ©part est prĂ©vu Place Denfert-Rochereau Ă 10h. Voir en plein Ă©cran â Plus dâinformations sur le site et via lâĂ©vĂ©nement facebook CrĂ©dit photo Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne
Pasde bĂ©bĂ©s Ă la consigne ! Pour amĂ©liorer et dĂ©velopper les modes dâaccueil et la scolarisation des jeunes enfants Les mesures et projets gouvernementaux concernant les modes dâaccueil des jeunes enfants (dont le projet de modification du dĂ©cret du 20 fĂ©vrier 2007, relatif aux Ă©tablissements et services dâaccueil de la petite enfance) ainsi
Publié le 24/03/2010 à 1054 Les slogans étaient recherchés, comme cela est souvent le cas lorsque le sort des enfants est en jeu. Ni sardines, ni à la consigne, les bébés garderont bonne mine ! », expliquent avec le sourire les membres du collectif animé par des acteurs de la petite enfance. Le collectif Pas de bébés à la consigne ! » parents et professionnels s'était fortement mobilisé pour la journée d'action du jeudi 11 mars avec un grand nombre d'établissements dans l'action. Hier, la crÚche d'Agen était fermée ; du personnel de crÚches associatives s'était déplacé à la manifestation. Nous voulons préserver la qualité de l'accueil des tout-petits », commente Karol Dubois, secrétaire du syndicat des territoriaux de la CGT, une des composantes du collectif. En cause, le retrait du décret contesté. Décret décrié A Agen hier, une délégation a été reçue par le directeur de cabinet du maire d'Agen, Jean Dionis du Séjour. Une motion lui fut remise à défaut de rencontrer le député-maire ».Personnels et parents refusent les dégradations annoncées par le gouvernement sur la qualité des modes d'accueil des jeunes enfants ». Le collectif réclame également l'ouverture de négociations sur l'accueil des petits. Sans réponse favorable, le principe d'une journée nationale est décidé pour le jeudi 8 avril.
Opération"Pas de bébés à la consigne" pour le personnel des crÚches. Vaucluse Matin. 1:19. CrÚche: Pas de bébés à la consigne!(Caen) Normandie TV. 0:55. Pas de bébés à la consigne à Toul le 8 avril 2010. fneje54. 0:37. Pas de bébés à la consigne en Lorraine Soir3 11 mars 2010. fneje54 . 3:25. 12/13 France3 Lorraine 11/03/11 : Pas de
En ce mardi 14 janvier, ce ne sont pas des dessins dâenfants qui dĂ©corent la crĂšche de Beauzac. Ce sont des banderoles qui parent les murs extĂ©rieurs. On peut lire dessus pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne ! ». Câest ainsi que se manifeste le personnel de la crĂšche qui reste nĂ©anmoins prĂ©sent pour sâoccuper des enfants. Ces professionnelles rejoignent le mouvement national de grogne. Leurs revendications ne portent pas sur une revalorisation de leur salaire. Leurs inquiĂ©tudes mettent au centre la qualitĂ© dâaccueil. Les professionnelles beauzacoises rappellent que "cette qualitĂ© dâaccueil doit ĂȘtre actuellement garantie par 1 professionnel pour 5 enfants avant 18 mois et un professionnel pour 7 enfants ensuite en Etablissement dâAccueil du Jeune Enfant⊠; 1 surface de 7 m2 par enfant garantie sur tout le territoire ; un accueil en surnombre limitĂ© Ă 110 % des inscrits en EAJE Ă©tablissement dâaccueil de jeune enfant ; la gĂ©nĂ©ralisation des temps dâanalyse de la pratique au sein de tous les modes dâaccueil ; lâĂ©lĂ©vation globale des niveaux de qualification des modes dâaccueil individuel et collectif par la formation initiale et par la formation continue diplĂŽmante ; lâalignement du cout restant Ă charge des familles, sur la base du quotient familial, quel que soit le mode dâaccueil. A Beauzac comme ailleurs, on fustige la rĂ©forme du gouvernement, Ă savoir "aucun progrĂšs pour les taux dâencadrement et de professionnelles les plus qualifiĂ©es", "une surface de m2 par enfant pour des dizaines de milliers de jeunes enfants", "115% dâaccueil en surnombre pendant 4 Ă 7 h tous les jours". "On ne peut se rĂ©signer Ă de telles propositions de la part du gouvernement", font savoir les professionnelles de la petite enfance de la crĂšche de Beauzac. Que les banderoles de la colĂšre puissent ĂȘtre dĂ©crochĂ©es, câest le voeu des professionnelles !
Pasde bĂ©bĂ© Ă la consigne ! vendredi 12 mars 2010. DĂ©ferlante de la petite enfance pour le retrait du nouveau dĂ©cret sur lâaccueil collectif. CommuniquĂ© de presse. Le gouvernement nâentend pas notre voix Professionnels et parents, nous ne lĂącherons pas ! Ce 11 mars 2010 marque la mobilisation dâune ampleur exceptionnelle des professionnels de la petite
Les membres du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne !" vont manifester ce mardi matin Ă Montpellier, pour contester les rĂ©formes prĂ©vues dans les crĂšches et la petite enfance Par Jean-Marc Aubert PubliĂ© le 14 Jan 20 Ă 831 mis Ă jour le 14 Jan 20 Ă 836 ILLUSTRATION/ Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne ! » dans la rue ce mardi Ă Montpellier ©FacebookLes rĂ©formes annoncĂ©es par le gouvernement dans les crĂšches et la petite enfance ne font pas lâunanimitĂ©. Des associations se mobilisent, Ă lâinstar du collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne ! », qui vont manifester ce mardi Ă 11h, devant les grilles de la prĂ©fecture de lâHĂ©rault, dans lâ collectif qui nâest pas inconnu, puisque leurs adhĂ©rents ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© dans la rue lâannĂ©e derniĂšre, lors dâactions des retraitesLe collectif qui se rassemblera avec le Collectif 34, lâUNSA, la CGT et la FNEJE rejoindra ensuite le cortĂšge des opposants au projet de la rĂ©forme des retraites, en fin de matinĂ©e, sur la place de la ComĂ©die. Les professionnels de la petite enfance, les parents, les futurs parents sont attendus nombreux Ă 11h devant la prĂ©fecture de lâHĂ©rault, Ă Montpellier, T-shirt, pancartes, banderoles et instruments de musique sont les bienvenus », indique la responsable de ce article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre MĂ©tropolitain dans lâespace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute lâactualitĂ© de vos villes et marques favorites.
Lecollectif « Pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne » Les personnels de la petite enfance se sont mobilisĂ©s, ce jeudi, pour dĂ©noncer la loi Asap qui rĂ©vise les modes dâaccueil et doit entrer en
CommuniquĂ© de presse du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne" dont la FSU Territoriale est membre. AprĂšs le drame survenu la semaine derniĂšre dans une microâcrĂšche de la ville de Lyon, nous nous associons trĂšs sincĂšrement Ă la douleur de la famille, et nous rappelons que seuls les services de police et de justice sont fondĂ©s Ă faire la lumiĂšre sur cet Ă©vĂ©nement tragique. Tout en faisant preuve de la plus grande prudence quant aux liens Ă Ă©tablir entre cela et la situation gĂ©nĂ©rale des crĂšches, le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă la consigne rappelle quâil alerte depuis des annĂ©es sur la dĂ©gradation des conditions dâaccueil des jeunes enfants, notamment en structures collectives, et sur celle des conditions de travail des Le collectif sâest mobilisĂ© depuis 2018 avec de trĂšs nombreux collĂšgues pour dĂ©noncer la rĂ©forme, dite loi ASAP, des modes dâaccueil portĂ©e par le gouvernement Macron, qui aboutit encore Ă dĂ©qualifier les mĂ©tiers de la petite enfance et Ă dĂ©rĂ©glementer le secteur. Nous avons fait des propositions, nous avons manifestĂ© mais nâavons jamais Ă©tĂ© entendus, pas plus que la Commission des 1000 premiers jours qui a Ă©galement proposĂ© vainement au gouvernement de rĂ©hausser les standards dâaccueil en crĂšche. Depuis longtemps, nous affirmons que rester seul en accueil collectif avec un ou plusieurs enfants ne permet pas de garantir la sĂ©curitĂ© des enfants et des professionnels. Avant les dĂ©crets dĂ©rogatoires adoptĂ©s durant la crise sanitaire, seules les microâcrĂšches avaient cette possibilitĂ© rester seul jusquâĂ 3 enfants, aujourdâhui toutes les structures collectives peuvent utiliser cette disposition. Par ailleurs les conditions dâaccueil sont devenues extrĂȘmement compliquĂ©es manque de personnel, dĂ©gradation des taux dâencadrement, recours Ă du personnel peu qualifiĂ©, possibilitĂ© dâaccueil en surnombre des enfants tous les jours. Ces situations du quotidien conduisent les au bord de pratiques quâils jugent euxâmĂȘmes potentiellement maltraitantes, selon de nombreux tĂ©moignagescf. Sâil est bien Ă©vident que la responsabilitĂ© civile et pĂ©nale est engagĂ©e pour tous les professionnels du secteur et que chacun doit rĂ©pondre de ses actes, les questions se posent quant aux responsabilitĂ©s des pouvoirs publics et Ă celles des gestionnaires des Ă©tablissements dâaccueil, de garantir une rĂ©glementation et son application pour offrir des conditions dâaccueil aux jeunes enfants, en toute sĂ©curitĂ© psychique et physique dans tous les modes dâaccueil. Documents associĂ©s
. 465 389 73 474 84 478 85 394
pas de bébés à la consigne